Dans les cas litigieux, on pourra désormais demander des tests de paternité reposant sur l'ADN du géniteur supposé.
Les facteurs (à l'exclusion de Rhésus et de Cheval) devront passer ces tests en priorité.
Dans les cas litigieux, on pourra désormais demander des tests de paternité reposant sur l'ADN du géniteur supposé.
Les facteurs (à l'exclusion de Rhésus et de Cheval) devront passer ces tests en priorité.
Enfin, ils avouent.
Un radar parisien situé à un endroit payant (selon les pouvoirs publics) est en panne depuis huit jours. Et, ce matin, j'entendais un responsable (sic) de la circulation francilienne déplorer le manque à gagner.
Ce que nous savions est confirmé. Les pouvoirs publics ne raisonnent pas en termes de sécurité routière mais en termes de rentabilité. Ce qui les intéresse n'est pas la sécurité des automobilistes mais leur argent.
Voilà qui est indigne et ne peut engendrer que mépris et dégoût.
Une forte prime (sous forme de parachute doré ou de stocks options) est promise à qui pourra dire où est passée la crise malencontreusement étouffée par un cochon mexicain.
Drôles de gens que nos dirigeants !
Un jour, ils interdisent le port de la cagoule. Un autre jour, ils préconisent le port du masque.
Comment s'y retrouver ?
Ce matin, un ministre dont j'ai déjà perdu le nom car rien n'indique qu'il devra passer à la postérité a déclaré en une envolée aussi lyrique que creuse que les immigrants de Calais constituaient une véritable jungle (prononcer jongle, comme on se doit de faire pour respecter notre langue en ses nuances).
À ce propos, le monde politique et celui des affaires (qui sont souvent confondus et c'est justement là que le bât blesse) n'entretiennent-ils pas «la loi de la jungle», cette loi qui privilégie les forts et écrase les faibles ?
N'ayons pas peur de le dire : le capitalisme vit sous la loi de la jungle et n'en connaît aucune autre.
Des travailleurs poussés au désespoir et guettés par la misère empêchent leurs patrons de quitter leurs bureaux et échapper ainsi au dialogue.
Les politiques et les médias horrifiés parlent de séquestration. Oh ! le grand mot. Être retenu dans un bureau pendant deux ou trois jours et nuits, ce n'est quand même pas «Guantanamo» !
Nos joyeux politiciens ont trouvé un nouveau jeu : le jeu des excuses. En effet, comme ils ne semblent pas être très occupés et qu'ils n'ont rien d'autre à faire que d'attendre sereinement la fin de la crise qui ne pourra venir que de Dieu ou d'Obama, les tenants du pouvoir balancent volontiers des propos injurieux à l'encontre de leurs homologues étrangers tandis que leurs opposants se chargent de présenter aussitôt des excuses au nom de la France.
Mais, quand donc ces politiciens se décideront-ils à présenter des excuses pour les mensonges prodigués sans vergogne aux citoyens honnêtes et, plus particulièrement, à leurs électeurs ?
Dans une exposition consacrée à l'emblématique cinéaste Jacques Tati, la pipe qu'il tenait en permanence entre ses dents et qui a toujours fait partie de son image a été gommée à la demande des ligues anti-tabac.
Je suis certain que ces ligueurs se feront très vieux puisque l'on sait maintenant que... le ridicule ne tue plus.
Aujourd'hui, 8 avril, Jacques Brel aurait 80 ans.
Or, on n'imagine pas Jacques Brel octogénaire.
Avec ou sans cheveux, avec ou sans perruque, avec ou sans implants...
Les socratiques disaient : «Les dieux aiment ceux qui meurent jeunes».
Nous avons vu cet après-midi un spectacle d'une rare qualité.
Au théâtre musical "Marsoulan", 20, rue Marsoulan, 75012 Paris, André Nerman a conçu et mis en scène une comédie musicale à partir des chansons de Jacques Brel.
Avec Laurent Clergeau, au piano, et Nelly Anne Rabas, chanteuse, il nous entraîne durant une heure et demie dans le monde magique et ensorcelant de Brel qu'il fait revivre avec talent.
À ceux qui, comme moi, sont des inconditionnels de Brel, je recommande ce spectacle qui les replongera dans l'univers «brelien».
À ceux qui, il y en a, ne sont pas des inconditionnels de Brel, je recommande ce spectacle qui leur fera apprécier cette poésie aux multiples accents où s'entremêlent tendresse, humour et colère.
À ceux qui, comment peut-il y en avoir ?, ne connaissent de Brel que le nom et pas ou très peu ses chansons, je recommande encore plus fort ce spectacle qui leur fera découvrir un des plus grands poètes français du XXe siècle.
Et cela, je le déclare en toute indépendance. Cet hommage à Jacques Brel est un moment inoubliable.
Ce spectacle est produit trois fois par semaine, le mercredi en soirée, le samedi en soirée et le dimanche en matinée. Jusqu'à fin juin 2009.
Les informations et la réservation sont disponibles au tél : 0143415492 ou www.theratremarsoulan.com.